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le parcours du combattant qui voudrait devenir chauffeur de bus scolaireDans l'article A vos bus ! Prêt ! Partez !!! Je vous parle, sous l’œil attentif du chauffeur candidat, du parcours du combattant de l'élève qui va à l'école et du chauffeur confirmé qui prend son bus 4 fois par jour pour déplacer les chérubins du village. Aujourd'hui je décrit le parcours du combattant de l'homme qui voulait devenir un chauffeurs de bus scolaire dans son village, c'est à dire: moi! Résumé: L'affaire se passe en 4 temps: lien vers 2ème partie 3ème et 4ème part: Le juridique Première partie: candidature chauffeurDans un premier temps, c'est une simple candidature de chauffeur qui se déroule le plus normalement possible... à la différence prêt que le futur patron n'y participe pas, je veux parler de la commune de marsens. Ils remettent cette charge au village d'à côté: Sorens. Le conseiller communal en charge est en vacances et son suppléant ne vient pas. Après quelques échanges, coté Sorens, on me dit que l'on va m'engager et me recontacter... mais lors de la rentrée scolaire j'apprends, du lors de l'interview que m'a accordé le conseillé communal en charge de ce dossier que je ne suis pas engagé et que je recevrai une lettre. je filmais les entretiens...
Des éléments de cet événement transparaissent dans les courriers qui seront échangés par la suite.
Deuxième partie : poste-candidature.La commune me pose un rendez-vous.29.08.17 Quelques jours plus tard, le 30, oh surprise ! sous le titre « Votre candidature – conducteur/trice de bus scolaire. Vos images illégales dans l’enceinte des bâtiments scolaires » je reçois une convocations, la commune me pose rendez-vous pour le jeudi 31 août à 19h30. (Voir le pdf) Ma réponse Il se trouve que j’ai un autre rendez-vous ce soir là, mais d' autres raisons me poussent à demander une autre façon de procéder : Entre le 17 juillet et 24 août, j’ai entendu plusieurs versions comprenant des éléments contradictoires de la part des personnes en charges du dossier de candidature. D’autres questions n’ont pas trouvé de réponse. Aujourd’hui cette lettre prend la voie d’une autre stratégie et y ajoute d’autres éléments qui ne sont pas sensés entrer dans cette procédure. Je n’y comprends plus rien et crains que le conseil communal n’est pas plus en mesure de gérer, d’une façon simple et compréhensible pour tous le monde, l’offre d’emploi qu’a faite la commune, à savoir : conducteur/trice de bus scolaire, entrée en fonction : 24 août 2017. Je propose, dans l’intérêt de tous, pour tenter de mettre un peu de transparence dans ce dossier de candidature, de procéder par ordre : 1o: Concernant ma candidature au poste de conducteur/trice de bus scolaire, de me répondre par écrit, comme, le 24 août dernier, le conseiller communal de marsens, en charge du dossier s’est engagé à le faire. J’attends cette réponse. 2o: Je leur demande de préciser leurs autres remarques par écrit.(voir la lettre) Après un silence jusqu'à mi-septembre Comme je l'avais demandé, Je reçois deux lettre: - Lettre concernant la prise d'images. (Voir ci-dessous) - Réponse à la candidature de chauffeur. Réponse à la candidature de chauffeur ; Dans cette lettre, la commune, bien qu'elle accuse la réception de mon précédent courrier, les conseillés m'ont attendu le 31.8 il s'agit des deux protagonistes de cette affaire le syndic et le conseillé aux écoles. Il me communique aussi leur refus à ma candidature, on peut y lire "décision motivée par votre attitude et comportement envers les autorités communales" (14.09.17) (voir la lettre) J'ai été étonné par la motivation de la commune pour me refuser ce poste? Cela pose la question: quel sont les comportement qu'attendent les autorités communales d'un chauffeur de bus avant, pendant, et après leurs maltraitances? J'ai répondu à ce courrier le 13 0ctobre 2017 - En préambule, je remercie les chauffeurs, pour leur travail difficile, sous pression, où ils prennent de grands risques pour un revenu modique. - Je m'étonne de leur motivation pour refuser ce poste et rappel le déroulement ainsi que les menaces qu'ils font pesez sur moi. Je conclue en regrettant les difficultés dans les communications avec la commune et en les invitant à réfléchir sur la théorie de Hannah Arendt; elle expliquait dans sa théorie sur la "banalité du mal":" L'inhumain se loge en chacun de nous... Continuer à "penser", c'est à dire, s'interroger sur soi, sur ses actes, sur la norme est la conditions pour ne pas sombrer dans cette banalité". (voir la lettre) L'affaire chauffeur se termine Et l'autre affaire concerne les images dites "illégales" par la commune. L'autorité communale écrit que "Vos intrusions dans le périmètre des écoles de notre cercle scolaire avec une caméra à l'épaule constituent des infractions à la loi scolaire (art. 94) et au code pénal (art. 179 quater et 186), Lors de première incursion, soit le 24 août 2017 entre 7h30 et 8h, MM. DM syndic et SFCC vous ont informé qu'il était interdit de filmer dans le périmètre scolaire et donné l'ordre de quitter les lieux, ce que vous avez refusé de faire*. Au contraire, vous avez continué de filmer dans le parking et la cour de l'école, sise à la Route des Bugnons**. Le lendemain, votre présence nous a été signalée par le Responsable d'Etablissement dans la cour de la même école, puis la semaine suivante dans celle d'Echarlens, appartenant également à notre cercle scolaire. Ces actes constituent une violation de propriété, car le périmètre scolaire, dont les cours d'école et les parkings font partie, ne sont pas des lieux publics. Vos actes portent également atteinte au droit à l'image, en particulier des enfants mineurs et de leurs parents. En conséquence, ces faits ont été annoncés à la police de proximité à Bulle. Par ailleurs, le Conseil communal vous interdit formellement, par la présente, de pénétrer dans le périmètre scolaire durant les heures d'écoles ainsi que de publier, de diffuser ou de transmettre à qui que ce soit les prises de vues que vous avez faites autour des écoles. Enfin, le Conseil communal vous intime l'ordre de détruire tous les documents filmés dans le périmètre scolaire, ainsi que d'éventuelles copies, ce dont vous attesterez par écrit." Dans cette lettre je suis menacé d'être traduit en justice pénalement pour
(voir la lettre et son annexe) *Les faits mentionnés dans la phrase ci-dessus en rouge ne correspondent pas à la réalité des faits sur place. Elle apparaît pour la première fois dans cette lettre et de fait, il ne peut y avoir la suite de cette phrase: **Au contraire, vous avez continué de filmer... Le 22 septembre 2017 Je réagis à cette précédente lettre en 5 points. 1° Je rappel avoir répondu à leur convocation et accepté ma proposition de traiter par écrit 2° Je conteste le résumé de faits 3° Le droit à l'image étant complexe et pour d'autres raisons, j'efface les images 4° Je m'étonne que les écoles soient des lieux privé en particulier pour la rentrés scolaire ou la population est invitée. 5° Je remercie de me rappeler la loi, et demande les heures et étendue des lieux ou la population est interdite. (Voir la lettre) 22 septembre, et la réception de cette lettre est confirmée le 05 octobre 2017 et la commune informe d'une réponse ultérieure (voir la lettre) Vérification Il arrive que des erreurs se produisent dans la correspondance, et ceci particulièrement lorsque les courriers sont écris par de tierces personnes comme pour la situation décrite ci-dessus. Pour en avoir le cœur net, je pose la question directement aux intéressés. Je leur ai fait par de mes contestations et j'attire leur attention sur le caractère aggravant de ces affirmations. Je leur ai demandé de confirmer leurs dires, ce qu'il n'ont pas pu faire. Je n'ai pas reçu de réponse. (voir le 2 lettres ) 26.09.17 le 29 septembre 2017 - J'informe la commune de ma demande à FS et DM - Le numéros de plaque demandé n'était pas visible - transmission des communication avec Sorens - un couvercle en fonte sur un trottoir descellé. (voir la lettre) Le 13 Octobre 2017 j'informe de ma demande de précision auprès des conseillés et de leur non réponse. (voir la lettre) 19 octobre 2017 La commune accuse réception de ma lettre du 29 septembre et m'informe que le nécessaire a été fait pour le couvercle en fonte (voir la lettre) le 9 janvier 2018 Un peu plus de 3 mois plus tard, la commune répond à ma lettre du 22 septembre 2017. - Elle prend acte que je conteste vos écrits... - Prend note que les images ont été effacées - informe que la prise de position a été prise en collaboration avec l'instruction publique (DICS) - Elle élargit les horaires d'interdiction sur le périmètre scolaire: de 7h15 à 16h30. (voir la lettre) le 7 février 2018 - la lettre de la commune du 8 janvier 2018 pose un problème de fond. Elle n’est pas basée sur la véracité des faits. Cette affaire témoigne aussi des nombreux dysfonctionnements dont souffre la commune de marsens. - je rappelle ma contestation de la phrase: "MM DMCC et SFCC , vous ont informé qu'il était interdit de filmer dans le périmètre scolaire et donné l'ordre de quitter les lieux ". Ce que je n’ai pas manqué de contester dans mes précédents courriers car c’est faux. - Je rappels les courriers échangés à ce propos. J’ai essayé d’attirer leur attention sur ces problèmes. Cependant je ne crois pas être y être parvenu. - Cette dernière lettre ne comporte ni reconnaissance d’erreur ni excuses. - Les syndics et conseillés communaux sont assermentés. Ces accusations de leur part portent atteinte à mon honneur ainsi qu’à celui de la commune. Elles discréditent le fonctionnement de la commune. - Cela met en question le rôle de l’assermentation des élus. - Pour établir une base de discussion solide et équitable dans ce genre de situation, il faut qu’elle soit basée sur la vérité. De fait, cet état rend les décisions caduques. (voir la lettre) le 15 mars 2018 C'est sous la forme d'une décision que répond la commune et confirme sa décision. Elle mentionne des droits de recours. (voir la lettre) RECOURS Le 9 avril 2018, j'ai fait une demande de recours auprès de la préfecture de la Gruyère. (voir le courrier) 04 juillet 2018, La préfecture demande sa détermination à la commune (voir le courrier) PLAINTE CONTRE INCONNU Le 13 avril 2018, j'ai déposé une plainte contre inconnu. J'ai demandé au juge que de fausses allégations à mon propos cessent. J'ai été entendu par la police. Depuis de nombreux événements se sont déroulés, et se sont terminés par ma condamnation. VOUS POUVEZ LIRE LA SUITE: Le parcours du combattant qui voulait devenir chauffeur de bus scolaire, 3ème et 4ème part: Le juridique |